Description
Abstract: In July, 1982 a seminar was held in Ottawa to compare the responses of nine major econometric models to a previously specified set of shocks to the Canadian economy. At the seminar, which was sponsored by the Bank of Canada and the Department of Finance, participants presented the results of their simulations and discussed the reasons for differences among their projections. The simulations chosen were relatively standard because different types of models were involved and because modellers had to provide their own resources. The monetary policy shocks entailed two reductions in short-term interest rates (100 and 500 basis points), a 1 per cent reduction in the level of the money supply, and a 1 percentage point reduction in the growth of money. The fiscal policy shocks embodied two government non-wage expenditure shocks ($1 and $5 billion in 1982), a personal income tax cut ($1 billion in 1982 adjusted over time to proxy a reduction in federal personal income tax rates), and a corporate income tax reduction ($1 billion in 1982 modelled as reduction in federal corporate tax rates) and were done under the assumption of a non-accommodating monetary policy. The two exchange rate shocks involved simulating a 10 per cent permanent depreciation of the Canadian dollar, one via lower domestic interest rates and expanding money supply, the other under the assumption of an exogenous shock but with the exchange rate remaining endogenous. To give readers an overview of the conference as a whole, this report provides cross-model comparisons of all the simulation results and summarizes the discussion sessions. Introductory remarks and the list of participants in the seminar are provided in appendixes.
Résumé: En juillet 1982 s'est tenue à Ottawa, sous les auspices de la Banque du Canada et du ministère des Finances, une conférence visant à comparer les réactions de neuf grands modèles de l'économie canadienne à un ensemble de chocs préalablement spécifiés. Les participants y ont présenté les résultats des simulations qu'ils avaient effectuées, puis ils ont examiné les causes des différences existant entre leurs projections. Les exercices de simulation choisis étaient classiques, parce que les modèles en cause étaient de types différents et que les constructeurs devaient utiliser leurs propres ressources. Les chocs de politique monétaire comprenaient deux réductions des taux d'intérêt à court terme (l'une de 100 points de base et l'autre de 500 points de base), soit une réduction de 1 % du niveau de la masse monétaire et une réduction de 1 point de pourcentage du rythme de croissance de la masse monétaire. Les chocs de politique budgétaire comprenaient deux variations des dépenses publiques non salariales (l'une de 1 milliard de dollars, l'autre de 5 milliards, toutes deux en dollars de 1982), une réduction de l'impôt sur le revenu des particuliers (1 milliard de dollars en 1982, ajusté sur longue période pour tenir compte d'une réduction des taux d'imposition des particuliers au niveau fédéral), et une réduction de l'impôt fédéral sur le revenu des sociétés (1 milliard de dollars en 1982, considéré comme une réduction des taux d'impôt fédéral sur les bénéfices des sociétés). L'hypothèse sous-jacente à ces chocs était celle de l'application conjointe d'une politique monétaire rigide. Deux chocs de taux de change ont été retenus : une dépréciation permanente du dollar canadien de 10 % s'effectuant par le truchement d'une réduction des taux d'intérêt canadiens et d'une expansion de la masse monétaire, et une dépréciation de 10 % attribuable à un choc exogène maintenu, mais où le taux de change reste néanmoins endogène. Le présent rapport offre une vue d'ensemble de cette conférence. Il présente des comparaisons entre les modèles et entre les différents résultats obtenus à partir des exercices de simulation et contient un résumé des séances de discussion. Les observations préliminaires faites à la conférence et la liste des participants sont présentées en annexe.
Résumé: En juillet 1982 s'est tenue à Ottawa, sous les auspices de la Banque du Canada et du ministère des Finances, une conférence visant à comparer les réactions de neuf grands modèles de l'économie canadienne à un ensemble de chocs préalablement spécifiés. Les participants y ont présenté les résultats des simulations qu'ils avaient effectuées, puis ils ont examiné les causes des différences existant entre leurs projections. Les exercices de simulation choisis étaient classiques, parce que les modèles en cause étaient de types différents et que les constructeurs devaient utiliser leurs propres ressources. Les chocs de politique monétaire comprenaient deux réductions des taux d'intérêt à court terme (l'une de 100 points de base et l'autre de 500 points de base), soit une réduction de 1 % du niveau de la masse monétaire et une réduction de 1 point de pourcentage du rythme de croissance de la masse monétaire. Les chocs de politique budgétaire comprenaient deux variations des dépenses publiques non salariales (l'une de 1 milliard de dollars, l'autre de 5 milliards, toutes deux en dollars de 1982), une réduction de l'impôt sur le revenu des particuliers (1 milliard de dollars en 1982, ajusté sur longue période pour tenir compte d'une réduction des taux d'imposition des particuliers au niveau fédéral), et une réduction de l'impôt fédéral sur le revenu des sociétés (1 milliard de dollars en 1982, considéré comme une réduction des taux d'impôt fédéral sur les bénéfices des sociétés). L'hypothèse sous-jacente à ces chocs était celle de l'application conjointe d'une politique monétaire rigide. Deux chocs de taux de change ont été retenus : une dépréciation permanente du dollar canadien de 10 % s'effectuant par le truchement d'une réduction des taux d'intérêt canadiens et d'une expansion de la masse monétaire, et une dépréciation de 10 % attribuable à un choc exogène maintenu, mais où le taux de change reste néanmoins endogène. Le présent rapport offre une vue d'ensemble de cette conférence. Il présente des comparaisons entre les modèles et entre les différents résultats obtenus à partir des exercices de simulation et contient un résumé des séances de discussion. Les observations préliminaires faites à la conférence et la liste des participants sont présentées en annexe.