Description
Abstract: The authors investigate the implications of house-price bubbles for the optimal inflation-target horizon using a dynamic general-equilibrium model with credit frictions, house-price bubbles, and small open-economy features. They find that, given the distribution of shocks and inflation persistence over the past 25 years, the optimal target horizon for Canada tends to be at the lower end of the six- to eight-quarter range that has characterized the Bank of Canada's policy since the inception of the inflation-targeting regime. The authors' results also suggest that it may be appropriate to take a longer view of the inflation-target horizon when the economy faces a houseprice bubble.
Résumé: Les auteurs analysent les implications de l'existence de bulles immobilières sur le marché résidentiel pour la détermination de l'horizon optimal d'une cible d'inflation. Ils ont recours pour ce faire à un modèle d'équilibre général dynamique de petite économie ouverte qui intègre des frictions sur le marché du crédit et des bulles immobilières. À la lumière de la distribution des chocs et du degré de persistance de l'inflation observés au cours des 25 dernières années, les auteurs concluent que l'horizon optimal dans le cas du Canada tend à se situer près de la limite inférieure de la fourchette de six à huit trimestres privilégiée par la Banque du Canada depuis l'adoption de cibles d'inflation. Leurs résultats donnent également à penser qu'un horizon plus long pourrait être approprié en présence de bulles immobilières.
Résumé: Les auteurs analysent les implications de l'existence de bulles immobilières sur le marché résidentiel pour la détermination de l'horizon optimal d'une cible d'inflation. Ils ont recours pour ce faire à un modèle d'équilibre général dynamique de petite économie ouverte qui intègre des frictions sur le marché du crédit et des bulles immobilières. À la lumière de la distribution des chocs et du degré de persistance de l'inflation observés au cours des 25 dernières années, les auteurs concluent que l'horizon optimal dans le cas du Canada tend à se situer près de la limite inférieure de la fourchette de six à huit trimestres privilégiée par la Banque du Canada depuis l'adoption de cibles d'inflation. Leurs résultats donnent également à penser qu'un horizon plus long pourrait être approprié en présence de bulles immobilières.