Description
Abstract: The authors estimate and solve a small structural model for the euro area over the 1983–2000 period. Given the assumption of rational expectations, the model implies a set of orthogonality conditions that provide the basis for estimating the model's parameter by generalized method of moments. The authors' main results are: (i) the impulse-response functions implied by the model are consistent with the standard stylized facts about the dynamic effects of monetary policy, (ii) evidence suggests that flexibility in Europe has increased since the adoption of the Maastricht Treaty, and (iii) the inflation expectations captured by the model might explain the European Central Bank's reluctance to ease monetary conditions in 2000.
Résumé: Les auteurs estiment et résolvent un petit modèle structurel applicable à la zone euro pour la période comprise entre 1983 et 2000. Partant de l'hypothèse d'attentes rationnelles, le modèle impose un ensemble de conditions d'orthogonalité qui permettent d'en estimer les paramètres à l'aide de la méthode des moments généralisés. Les auteurs en concluent essentiellement que i) les profils de réaction générés par le modèle cadrent avec les faits stylisés relatifs aux effets dynamiques de la politique monétaire; ii) la flexibilité semble s'être accentuée en Europe depuis l'entrée en vigueur du Traité de Maastricht; iii) les attentes d'inflation représentées dans le modèle peuvent expliquer l'hésitation de la Banque centrale européenne à assouplir les conditions monétaires en 2000.
Résumé: Les auteurs estiment et résolvent un petit modèle structurel applicable à la zone euro pour la période comprise entre 1983 et 2000. Partant de l'hypothèse d'attentes rationnelles, le modèle impose un ensemble de conditions d'orthogonalité qui permettent d'en estimer les paramètres à l'aide de la méthode des moments généralisés. Les auteurs en concluent essentiellement que i) les profils de réaction générés par le modèle cadrent avec les faits stylisés relatifs aux effets dynamiques de la politique monétaire; ii) la flexibilité semble s'être accentuée en Europe depuis l'entrée en vigueur du Traité de Maastricht; iii) les attentes d'inflation représentées dans le modèle peuvent expliquer l'hésitation de la Banque centrale européenne à assouplir les conditions monétaires en 2000.