Description
Abstract: This paper investigates the impact of pyramid ownership structure and multiple controlling shareholders on firm leverage. Pyramids, having at least one controlling shareholder and a subsidiary, rely significantly more on debt financing than non-pyramid firms. Moreover, higher leverage is observed in pyramids where the second controlling shareholders have more voting rights. We also find that the disparity between the voting rights of the first two controlling shareholders is negatively related to firm leverage. Interestingly, the influence of the second controlling shareholder is only present in non-family controlled pyramids. Overall, the results are consistent with the view that controlling shareholders in pyramids use debt to secure their private benefits.
Résumé: Les auteures étudient l'incidence de la structure de propriété pyramidale et de la présence de plusieurs actionnaires dominants sur le levier financier des sociétés. Les pyramides, qui comptent au moins un actionnaire dominant et une filiale, se financent beaucoup plus par emprunt que les autres types de société. Le recours au levier financier est encore plus marqué lorsque les deuxièmes actionnaires en importance ont davantage de droits de vote que les premiers. Les auteures constatent aussi que l'écart entre les droits de vote des deux principaux actionnaires est inversement lié au levier financier des sociétés. Fait intéressant, les deuxièmes actionnaires n'ont d'influence que dans les pyramides qui ne sont pas contrôlées par une famille. Dans l'ensemble, les résultats sont conformes au point de vue selon lequel les actionnaires dominants au sein des pyramides utilisent l'emprunt pour servir leurs intérêts privés.
Résumé: Les auteures étudient l'incidence de la structure de propriété pyramidale et de la présence de plusieurs actionnaires dominants sur le levier financier des sociétés. Les pyramides, qui comptent au moins un actionnaire dominant et une filiale, se financent beaucoup plus par emprunt que les autres types de société. Le recours au levier financier est encore plus marqué lorsque les deuxièmes actionnaires en importance ont davantage de droits de vote que les premiers. Les auteures constatent aussi que l'écart entre les droits de vote des deux principaux actionnaires est inversement lié au levier financier des sociétés. Fait intéressant, les deuxièmes actionnaires n'ont d'influence que dans les pyramides qui ne sont pas contrôlées par une famille. Dans l'ensemble, les résultats sont conformes au point de vue selon lequel les actionnaires dominants au sein des pyramides utilisent l'emprunt pour servir leurs intérêts privés.