Description
Abstract: This paper studies the welfare effects of different credit arrangements and how these effects depend on the trading mechanism and inflation. In a competitive market, a deviation from the Friedman rule is always sub-optimal. Moreover, credit arrangements can be welfare-reducing, because increased consumption by credit users will drive up the price level so that money users have to reduce consumption when facing a binding liquidity restraint. By adopting an optimal trading mechanism, however, these welfare implications can be overturned. Price discrimination under the optimal mechanism helps internalize the price effects. First, small deviations from the Friedman rule are no longer welfare-reducing. Second, increasing the access to credit becomes welfare-improving. Finally, the model is extended to study the welfare effects of credit systems when credit serves as means of payment, and endogenous credit constraint.
Résumé: Dans cette étude, les auteurs examinent les effets de différents modes de crédit sur le bien-être et la sensibilité de ces effets au mécanisme de négociation et à l’inflation. Dans un marché soumis à la concurrence, un écart par rapport à la règle de Friedman est toujours sous-optimal. De plus, le crédit peut réduire le bien-être étant donné qu’en accroissant la consommation de ceux qui y ont recours, il fait monter le niveau des prix, obligeant ainsi les utilisateurs de monnaie à réduire leur consommation s’ils sont confrontés à une contrainte de liquidité. Il est toutefois possible de neutraliser ces effets sur le bien-être en introduisant un mécanisme de négociation optimal. Dans ce cas, la discrimination par les prix aide à internaliser les effets de prix. Premièrement, un faible écart par rapport à la règle de Friedman n’a plus d’incidence réductrice sur le bien-être. Deuxièmement, un accès accru au crédit se traduit par une amélioration du bien-être. Pour terminer, les auteurs étoffent le modèle afin d’étudier les effets sur le bien-être de l’utilisation de systèmes de crédit, lorsque le crédit est un moyen de paiement, et les effets de contraintes de crédit endogènes.
Résumé: Dans cette étude, les auteurs examinent les effets de différents modes de crédit sur le bien-être et la sensibilité de ces effets au mécanisme de négociation et à l’inflation. Dans un marché soumis à la concurrence, un écart par rapport à la règle de Friedman est toujours sous-optimal. De plus, le crédit peut réduire le bien-être étant donné qu’en accroissant la consommation de ceux qui y ont recours, il fait monter le niveau des prix, obligeant ainsi les utilisateurs de monnaie à réduire leur consommation s’ils sont confrontés à une contrainte de liquidité. Il est toutefois possible de neutraliser ces effets sur le bien-être en introduisant un mécanisme de négociation optimal. Dans ce cas, la discrimination par les prix aide à internaliser les effets de prix. Premièrement, un faible écart par rapport à la règle de Friedman n’a plus d’incidence réductrice sur le bien-être. Deuxièmement, un accès accru au crédit se traduit par une amélioration du bien-être. Pour terminer, les auteurs étoffent le modèle afin d’étudier les effets sur le bien-être de l’utilisation de systèmes de crédit, lorsque le crédit est un moyen de paiement, et les effets de contraintes de crédit endogènes.