Description
Abstract: We examine nine changes in the New York State Security Transaction Taxes (STT) between 1932 and 1981. We find that imposing or increasing an STT results in wider bidask spreads, lower volume, and increased price impact of trades. In contrast to theories of STT imposition as a means to reduce volatility, we find no consistent relationship between the level of an STT and volatility. We examine the propensity of traders to switch trading locations to avoid the tax and find no consistent evidence that they will change locations. We do find evidence to suggest that taxes imposed on the par value of stock will result in corporations managing the par value in the direction of minimizing the impact of the tax on investors.
Résumé: Les auteurs examinent les neuf changements que l’État de New York a apportés à sa taxe sur les transactions de titres entre 1932 et 1981. Ils constatent que l’instauration d’une taxe de ce genre ou sa majoration conduit à un élargissement des écarts entre les cours acheteur et vendeur, à une baisse des volumes ainsi qu’à une augmentation de l’incidence des transactions sur les prix. À l’inverse de ce que prédisent les théories prônant l’imposition d’une taxe sur les transactions afin de réduire la volatilité des marchés financiers, ils n’observent aucun lien systématique entre le niveau de la taxe et celui de la volatilité. Ils se penchent aussi sur la tendance qu’auraient les arbitragistes à se relocaliser pour soustraire leurs transactions à la taxe. Les données ne corroborent pas cette hypothèse. Les auteurs relèvent cependant des indices montrant que l’imposition d’une taxe sur la valeur nominale d’une action incite la société émettrice à gérer cette valeur de manière à minimiser l’effet de la taxe sur les investisseurs.
Résumé: Les auteurs examinent les neuf changements que l’État de New York a apportés à sa taxe sur les transactions de titres entre 1932 et 1981. Ils constatent que l’instauration d’une taxe de ce genre ou sa majoration conduit à un élargissement des écarts entre les cours acheteur et vendeur, à une baisse des volumes ainsi qu’à une augmentation de l’incidence des transactions sur les prix. À l’inverse de ce que prédisent les théories prônant l’imposition d’une taxe sur les transactions afin de réduire la volatilité des marchés financiers, ils n’observent aucun lien systématique entre le niveau de la taxe et celui de la volatilité. Ils se penchent aussi sur la tendance qu’auraient les arbitragistes à se relocaliser pour soustraire leurs transactions à la taxe. Les données ne corroborent pas cette hypothèse. Les auteurs relèvent cependant des indices montrant que l’imposition d’une taxe sur la valeur nominale d’une action incite la société émettrice à gérer cette valeur de manière à minimiser l’effet de la taxe sur les investisseurs.