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Abstract: In this study we compare the forecasting ability of the three publicly available Canadian quarterly econometric models: The AERIC Short-Term Quarterly Forecasting Model of the Canadian Economy (AERIC) developed in The Conference Board in Canada, the Quarterly Econometric Model of the Canadian Economy (QFM) developed at the University of Toronto, and the Research Department quarterly experimental econometric model of the Canadian economy (RDX2) developed in the Bank of Canada. The standards against which these econometric models are measured are univariate Box-Jenkins models and a monetarist reduced form model. Sixteen variables of general interest to forecasters are examined over various prediction intervals so as to ascertain the forecast errors in the levels of the variables and their percentage changes. We find that no one model predominates. Although the three econometric models generally perform well in comparison with the Box-Jenkins models, the monetarist model consistently predicts nominal gross national expenditure best. Among the three econometric models there is considerable variation in the ability to predict the variables over different time horizons.

Résumé: Dans cette étude, nous comparons le pouvoir prédictif des trois modèles trimestriels de l'économie canadienne accessibles au public: le modèle économétrique trimestriel de prévision à court terme (IRIC) mis au point par le Conference Board au Canada, le modèle économétrique trimestriel de l'économie canadienne (QFM) construit par l'Université de Toronto et le modèle économétrique de l'économie canadienne (RDX2) élaboré par la Banque du Canada, Le pouvoir prédictif de ces modèles a été comparé à celui des modèles ARIMA Box-Jenkins et à celui d'un modèle monétariste de forme réduite choisis comme termes de référence. Nous avons étudié sur différents horizons de prévision seize variables considérées comme importantes par les prévisionnsites, ce dans le but de déterminer les erreurs de prévision contenues dans le niveau des variables et dans leur taux d'accroissement. Nous n'avons trouvé aucun de ces modèles supérieur aux autres. Toutefois, si les trois modèles économétriques permettent en général d'obtenir des résultats qui se comparent avantageusement à ceux du modèle Box-Jenkins, le modèle monétariste, lui, se révèle constamment supérieur lorsqu'il s'agit de prévoir l'évolution de la dépense nationale brute en termes nominaux. Le pouvoir prédictif des trois modèles économétriques varie considérablement lorsqu'on modifie l'horizon choisi.

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