Description
Abstract: This paper uses the methodologies developed by Blanchard and Quah (1989) and Shapiro and Watson (1988) to identify and assess the importance of supply and demand shocks in Canadian business cycles. Our principal finding is that supply shocks account for about 80 per cent of short run output fluctuations while demand shocks are responsible for more than 60 per cent of fluctuations in the unemployment rate and the inflation rate. Thus, while our results strongly support the real business cycle approach to modelling economic fluctuations, they also suggest that the traditional emphasis on demand shocks cannot be dismissed altogether.
Résumé: Les auteurs de cette étude tentent de mettre en évidence les chocs de l’offre et de la demande que subissent les cycles économique au Canada et d’en évaluer l’importance, en tirant parti des méthodes élaborées par Blanchard et Quah (1989) et Shapiro et Watson (1988). Leur principale conclusion est que les chocs de l’offre sont à l’origine de 80 % environ des fluctuations de la production à court terme, tandis que ceux de la demande expliquent plus de 60 % des fluctuations du taux de chômage et du taux d’inflation. Bien que les résultats obtenus confortent solidement l’hypothèse que la modélisation des fluctuations peuts’appuyer sur la théorie du cycle économique réel, ils n’indiquent pas moins que l’accent mis traditionnellement sur les chocs de la demande n’est pas entièrement injustifié.
Résumé: Les auteurs de cette étude tentent de mettre en évidence les chocs de l’offre et de la demande que subissent les cycles économique au Canada et d’en évaluer l’importance, en tirant parti des méthodes élaborées par Blanchard et Quah (1989) et Shapiro et Watson (1988). Leur principale conclusion est que les chocs de l’offre sont à l’origine de 80 % environ des fluctuations de la production à court terme, tandis que ceux de la demande expliquent plus de 60 % des fluctuations du taux de chômage et du taux d’inflation. Bien que les résultats obtenus confortent solidement l’hypothèse que la modélisation des fluctuations peuts’appuyer sur la théorie du cycle économique réel, ils n’indiquent pas moins que l’accent mis traditionnellement sur les chocs de la demande n’est pas entièrement injustifié.