Description
Abstract: This paper develops a measure of private-sector wealth which includes financial, physical and human wealth. In an attempt to capture important observed differences between individuals, consumers are modelled as being of two types — liquid and illiquid. Liquid consumers can borrow against expected future earnings, while illiquid consumers cannot. This approach has the attractive feature that the resulting measure of aggregate wealth is flexible enough to encompass a range of views on the importance of the forward-looking component of wealth and the validity of the Ricardian equivalence proposition. Human wealth, or more specifically, the expected discounted value of future earnings net of government expenditures, is evaluated using a time-series approach. A numerical solution for this expectation is obtained by approximating a real-valued vector process as a discrete-valued Markov chain. To the extent possible, non-human wealth is measured at market value. The paper concludes by comparing alternative historical series for wealth which embody different assumptions regarding Ricardian equivalence.
Résumé: Dans cette étude, l’auteur élabore une mesure de la richesse du secteur privé, qui inclut le patrimoine et le capital humain. Afin de saisir les différentes caractéristiques des consommateurs, ils les divise en deux groupes: ceux qui ont des liquidités et ceux qui n’en ont pas. Les premiers peuvent contracter des emprunts sur la base de leurs revenus anticipés, tandis que les seconds n’ont pas cette possibilité. L’avantage de cette approche est qu’elle permet à l’auteur d’en arriver à une mesure assez souple de la richesse, c’est-à-dire qui intègre divers points de vue concernant l’impact du revenu anticipé sur la richesse et la validité de l’hypothèse d’équivalence ricardienne. L’auteur détermine, à l’aide des techniques des séries chronologiques, la richesse humaine ou plus spécifiquement la valeur actuelle anticipée des revenus, déduction faite des dépenses publiques . Il obtient une solution numérique pour cette valeur escomptée en calculant une approximation d’un processus vectoriel à l’aide de chaines de Markov évaluées avec les valeurs discrètes. Le patrimoine est calculé dans la mesure du possible au cours du marché. L’ étude se termine par une comparaison des différentes séries chronologiques de la richesse obtenues à partir de divers postulats concernant la validité de l’hypothèse d’équivalence ricardienne.
Résumé: Dans cette étude, l’auteur élabore une mesure de la richesse du secteur privé, qui inclut le patrimoine et le capital humain. Afin de saisir les différentes caractéristiques des consommateurs, ils les divise en deux groupes: ceux qui ont des liquidités et ceux qui n’en ont pas. Les premiers peuvent contracter des emprunts sur la base de leurs revenus anticipés, tandis que les seconds n’ont pas cette possibilité. L’avantage de cette approche est qu’elle permet à l’auteur d’en arriver à une mesure assez souple de la richesse, c’est-à-dire qui intègre divers points de vue concernant l’impact du revenu anticipé sur la richesse et la validité de l’hypothèse d’équivalence ricardienne. L’auteur détermine, à l’aide des techniques des séries chronologiques, la richesse humaine ou plus spécifiquement la valeur actuelle anticipée des revenus, déduction faite des dépenses publiques . Il obtient une solution numérique pour cette valeur escomptée en calculant une approximation d’un processus vectoriel à l’aide de chaines de Markov évaluées avec les valeurs discrètes. Le patrimoine est calculé dans la mesure du possible au cours du marché. L’ étude se termine par une comparaison des différentes séries chronologiques de la richesse obtenues à partir de divers postulats concernant la validité de l’hypothèse d’équivalence ricardienne.