Description
Abstract: In this paper, the author uses the term structure of nominal interest rates to construct estimates of agents' expectations of inflation over several medium-term forecast horizons. The Expectations Hypothesis is imposed together with the assumption that expected future real interest rates are given by current real rates. Under these maintained assumptions, it is possible to compare the nominal yields on two assets of different maturities and attribute the difference in nominal yields to differences in expected inflation over the two horizons (assuming a constant term premium). The results for the United States and Canada over the past several years suggest that there is a significant static element to agents' inflation expectations.
Résumé: À l'aide de la structure par terme des taux d'intérêt nominaux, l'auteur établit sur plusieurs horizons de prévision à moyen terme des estimations des anticipations d'inflation que forment les agents économiques. L'hypothèse d'anticipations de la courbe de rendement est retenue conjointement avec celle selon laquelle les taux d'intérêt réels futurs anticipés sont donnés par les taux réels du moment. Sous ces deux hypothèses, il est possible de comparer les taux de rendement nominaux de deux actifs à échéances différentes et d'attribuer l'écart entre ces taux aux divergences entre les taux d'inflation anticipés sur les deux horizons (en supposant que la prime payable à l'échéance est constante). Les résultats obtenus pour les États-Unis et le Canada au cours des dernières années laissent croire que les anticipations d'inflation des agents économiques sont en grande partie statiques.
Résumé: À l'aide de la structure par terme des taux d'intérêt nominaux, l'auteur établit sur plusieurs horizons de prévision à moyen terme des estimations des anticipations d'inflation que forment les agents économiques. L'hypothèse d'anticipations de la courbe de rendement est retenue conjointement avec celle selon laquelle les taux d'intérêt réels futurs anticipés sont donnés par les taux réels du moment. Sous ces deux hypothèses, il est possible de comparer les taux de rendement nominaux de deux actifs à échéances différentes et d'attribuer l'écart entre ces taux aux divergences entre les taux d'inflation anticipés sur les deux horizons (en supposant que la prime payable à l'échéance est constante). Les résultats obtenus pour les États-Unis et le Canada au cours des dernières années laissent croire que les anticipations d'inflation des agents économiques sont en grande partie statiques.