Description
Abstract: The author develops a measure of aggregate private sector wealth in Canada and examines its ability to explain aggregate consumption of non-durables and services. This wealth measure includes financial, physical and human wealth.
The author measures human wealth as the expected present value of aggregate labour income, net of government expenditures, based on a discrete state-space approximation of an estimated bivariate vector autoregression for the real interest rate and the growth rate of labour income, net of government expenditures. His general approach to measuring financial and physical (non-human) wealth is to consolidate the assets and liabilities of the various sectors of the economy so as to measure the net worth of the ultimate owners of private-sector wealth—households. To the extent possible, the author measures non-human wealth at market value.
The relationship between consumption and wealth is explored as a means both of gauging the usefulness of the wealth measures developed in this report and of improving on empirical consumption models for Canada. The principal empirical finding is that both wealth and disposable income are important determinants of consumption. Including wealth in the consumption function is particularly helpful in explaining the consumption boom of the late 1980s.
Résumé: Dans le présent rapport, l'auteur élabore une mesure de la richesse globale du secteur privé au Canada et examine sa capacité d'expliquer la consommation globale de biens non durables et de services. Cette mesure englobe la richesse financière, la richesse physique et la richesse humaine. L'auteur définit la richesse humaine comme la valeur actuelle anticipée du revenu global du travail, nette des dépenses publiques. Cette mesure est basée sur une approximation discrète d'espace-état d'une autorégression vectorielle à deux variables, estimée pour le taux d'intérêt réel et le taux de croissance du revenu du travail net des dépenses publiques. L'approche générale utilisée par l'auteur pour mesurer la richesse financière et la richesse physique (non humaine) consiste à regrouper l'actif et le passif des divers secteurs de l'économie de façon à obtenir une estimation de la situation nette des détenteurs ultimes de la richesse du secteur privé, à savoir les ménages. Dans la mesure du possible, l'auteur mesure la richesse non humaine à la valeur du marché. L'auteur cherche à déterminer la relation entre la consommation et la richesse afin de pouvoir évaluer l'utilité des mesures de la richesse élaborées dans le présent rapport et d'améliorer les modèles empiriques de consommation au Canada. Le principal résultat empirique auquel il parvient est que tant la richesse que le revenu disponible constituent des déterminants importants de la consommation. L'inclusion de la richesse dans la fonction de consommation est particulièrement utile pour expliquer l'essor de la consommation à la fin des années 80.
Résumé: Dans le présent rapport, l'auteur élabore une mesure de la richesse globale du secteur privé au Canada et examine sa capacité d'expliquer la consommation globale de biens non durables et de services. Cette mesure englobe la richesse financière, la richesse physique et la richesse humaine. L'auteur définit la richesse humaine comme la valeur actuelle anticipée du revenu global du travail, nette des dépenses publiques. Cette mesure est basée sur une approximation discrète d'espace-état d'une autorégression vectorielle à deux variables, estimée pour le taux d'intérêt réel et le taux de croissance du revenu du travail net des dépenses publiques. L'approche générale utilisée par l'auteur pour mesurer la richesse financière et la richesse physique (non humaine) consiste à regrouper l'actif et le passif des divers secteurs de l'économie de façon à obtenir une estimation de la situation nette des détenteurs ultimes de la richesse du secteur privé, à savoir les ménages. Dans la mesure du possible, l'auteur mesure la richesse non humaine à la valeur du marché. L'auteur cherche à déterminer la relation entre la consommation et la richesse afin de pouvoir évaluer l'utilité des mesures de la richesse élaborées dans le présent rapport et d'améliorer les modèles empiriques de consommation au Canada. Le principal résultat empirique auquel il parvient est que tant la richesse que le revenu disponible constituent des déterminants importants de la consommation. L'inclusion de la richesse dans la fonction de consommation est particulièrement utile pour expliquer l'essor de la consommation à la fin des années 80.