Description
Abstract: This paper reconsiders several recently published but controversial results about the behaviour of exchange rates. In particular, it explores finite-sample problems in the application of cointegration tests and shows how these may have affected the conclusions of recent research. It also demonstrates how simple simulation methods may be used to check the robustness of cointegration tests in particular applied settings, and provides information on the potential sources of size distortion in these tests.
Three case studies are presented. The first is the literature on cointegration and prediction of nominal spot exchange rates spawned by Baillie and Bollerslev (1989). The second is work on the long-run validity of the monetary model of exchange rate determination, particularly the contributions of MacDonald and Taylor (1993; 1994a). The final case study looks at the evidence presented by Kasa (1992) on common stochastic trends in the international stock market. Our results suggest that Baillie and Bollerslev's results are unaffected by finite-sample problems, but that the opposite is true for the other two case studies.
Résumé: Les auteurs de l'étude se penchent sur les résultats controversés obtenus récemment par certains chercheurs au sujet du comportement des taux de change. Ils essaient notamment d'établir la présence de problèmes d'estimation tenant à la taille limitée de l'échantillon et montrent comment ces problèmes influencent les conclusions des études récentes. Ils montrent également comment de simples méthodes de simulation peuvent servir à évaluer la robustesse des tests de cointégration dans des conditions données et avancent différentes sources possibles de distorsions de niveau. Les auteurs effectuent trois études de cas. La première s'inspire de la littérature que les recherches de Baillie et Bollerslev (1989) ont suscitée sur la cointégration et la prévision des taux de change nominaux au comptant. La seconde s'appuie sur les travaux relatifs à la validité à long terme du modèle monétaire de détermination du taux de change, notamment ceux de MacDonald et Taylor (1993 et 1994). La troisième et dernière étude passe en revue les résultats présentés par Kasa (1992) relativement à l'existence de tendances stochastiques communes aux marchés boursiers internationaux. Les auteurs concluent que les résultats de Baillie et Bollerslev ne sont pas influencés par des problèmes d'estimation liés à la taille limitée de l'échantillon, mais que l'on ne peut en dire autant des résultats examinés dans les deux autres études de cas.
Résumé: Les auteurs de l'étude se penchent sur les résultats controversés obtenus récemment par certains chercheurs au sujet du comportement des taux de change. Ils essaient notamment d'établir la présence de problèmes d'estimation tenant à la taille limitée de l'échantillon et montrent comment ces problèmes influencent les conclusions des études récentes. Ils montrent également comment de simples méthodes de simulation peuvent servir à évaluer la robustesse des tests de cointégration dans des conditions données et avancent différentes sources possibles de distorsions de niveau. Les auteurs effectuent trois études de cas. La première s'inspire de la littérature que les recherches de Baillie et Bollerslev (1989) ont suscitée sur la cointégration et la prévision des taux de change nominaux au comptant. La seconde s'appuie sur les travaux relatifs à la validité à long terme du modèle monétaire de détermination du taux de change, notamment ceux de MacDonald et Taylor (1993 et 1994). La troisième et dernière étude passe en revue les résultats présentés par Kasa (1992) relativement à l'existence de tendances stochastiques communes aux marchés boursiers internationaux. Les auteurs concluent que les résultats de Baillie et Bollerslev ne sont pas influencés par des problèmes d'estimation liés à la taille limitée de l'échantillon, mais que l'on ne peut en dire autant des résultats examinés dans les deux autres études de cas.