Description
Abstract: A recent paper has suggested there might be a trade-off between inflation and unemployment at low inflation rates and this has led some economists to recommend that Canada increase its inflation rate. Underlying this view is the idea that, because firms are reluctant to cut workers' nominal wages, a moderate amount of inflation can be used to facilitate needed reductions in real wages. This paper discusses the link from downward nominal-wage rigidity to unemployment and considers some of the issues that need to be addressed to determine whether a change in Canada's monetary policy is warranted.
Résumé: Un article publié récemment avance une hypothèse susceptible d'expliquer l'existence d'un arbitrage entre le chômage et l'inflation lorsque celle-ci est faible. Certains économistes en ont conclu que les autorités canadiennes devraient permettre une hausse du taux d'inflation. Selon l'hypothèse avancée, comme les entreprises hésitent à réduire les salaires nominaux, la présence d'une inflation modérée pourrait faciliter la diminution des salaires réels quand cela est nécessaire. L'auteur de l'étude analyse le lien entre la rigidité à la baisse des salaires nominaux et le chômage et examine certaines des questions qui doivent être réglées afin d'établir si une modification de la politique monétaire est justifiée.
Résumé: Un article publié récemment avance une hypothèse susceptible d'expliquer l'existence d'un arbitrage entre le chômage et l'inflation lorsque celle-ci est faible. Certains économistes en ont conclu que les autorités canadiennes devraient permettre une hausse du taux d'inflation. Selon l'hypothèse avancée, comme les entreprises hésitent à réduire les salaires nominaux, la présence d'une inflation modérée pourrait faciliter la diminution des salaires réels quand cela est nécessaire. L'auteur de l'étude analyse le lien entre la rigidité à la baisse des salaires nominaux et le chômage et examine certaines des questions qui doivent être réglées afin d'établir si une modification de la politique monétaire est justifiée.