Description
Abstract: This paper examines the factors that lead liquidity-motivated investors to choose the type of market structure they prefer. We assume that investors can choose between a dealership and a limit-order-book market. This study builds a theoretical model for both the dealership and order-book markets and develops a numerical method to solve the Nash equiibrium strategies of heterogeneous market participants. We find that a dealership market would be preferred by investors in an environment where customer trading is relatively thin and correlated, and by investors who are subject to relatively large liquidity shocks.
Résumé: Les auteurs examinent les facteurs qui amènent les investisseurs dont les transactions sont motivées par des chocs de portefeuille à privilégier une structure de marché particulière. Ils font l'hypothèse que les investisseurs ont le choix de recourir à un marché de contrepartie, dirigé par les prix, ou à un marché reposant sur la confrontation d'ordres à cours limité dans un carnet. Ils élaborent un modèle théorique pour ces deux types de marché, ainsi qu'une méthode de résolution numérique en vue de déterminer la stratégie d'équilibre de Nash d'opérateurs hétérogènes. Les auteurs constatent que les investisseurs préfèrent la structure du marché de contrepartie lorsque les transactions sont peu nombreuses et corrélées entre elles ou qu'ils subissent des chocs de liquidité relativement importants.
Résumé: Les auteurs examinent les facteurs qui amènent les investisseurs dont les transactions sont motivées par des chocs de portefeuille à privilégier une structure de marché particulière. Ils font l'hypothèse que les investisseurs ont le choix de recourir à un marché de contrepartie, dirigé par les prix, ou à un marché reposant sur la confrontation d'ordres à cours limité dans un carnet. Ils élaborent un modèle théorique pour ces deux types de marché, ainsi qu'une méthode de résolution numérique en vue de déterminer la stratégie d'équilibre de Nash d'opérateurs hétérogènes. Les auteurs constatent que les investisseurs préfèrent la structure du marché de contrepartie lorsque les transactions sont peu nombreuses et corrélées entre elles ou qu'ils subissent des chocs de liquidité relativement importants.