Description
Abstract: Since the autumn of 1997, the Bank of Canada's regional offices (located in Halifax, Montréal, Toronto, Calgary, and Vancouver) have conducted consultations with businesses across Canada on a quarterly basis. These consultations are now referred to as the Business Outlook Survey (BOS). The BOS provides a timely source of information on what businesses are experiencing and planning. Business consultations are timed to feed into the decision-making process that precedes the Bank's fixed dates for announcing monetary policy decisions. The consultations are structured around a questionnaire. Every quarter, 100 firms that reflect the diverse composition of the Canadian economy in terms of region, type of business activity, and firm size are interviewed. Because the BOS is a relatively new tool, the survey time series is short. The assessment presented in this paper, which is based on charts and correlations, is intended as an initial guide. The findings suggest that the survey serves as a barometer of the Canadian economy and provides leading signals of future activity. The interview responses also inform the Bank about production-capacity constraints, labour shortages, and inflation expectations.
Résumé: Depuis l'automne 1997, les bureaux régionaux de la Banque du Canada, situés à Halifax, Montréal, Toronto, Calgary et Vancouver, mènent chaque trimestre des consultations auprès d'entreprises d'un bout à l'autre du pays. Maintenant désignée sous le nom d'enquête sur les perspectives des entreprises, cette initiative offre à la Banque un moyen de se renseigner rapidement sur les perceptions et les plans d'avenir des gens d'affaires. Afin que l'information recueillie puisse alimenter le processus décisionnel, le moment où l'enquête a lieu est déterminé par le calendrier arrêté pour l'annonce des décisions de politique monétaire. En s'appuyant sur un questionnaire, les bureaux régionaux interrogent chaque trimestre un groupe de 100 entreprises dont la composition par région, secteur d'activité et taille reflète celle de l'économie canadienne. Cet outil de consultation étant relativement jeune, les séries chronologiques ne sont pas très longues. Se fondant sur l'analyse de graphiques et de corrélations, l'auteure pose de premiers repères pour l'interprétation des données de l'enquête. Il ressort de son évaluation que l'enquête constitue un baromètre utile de la conjoncture économique au Canada et fournit des signaux avancés de l'activité future. Elle permet aussi à la Banque de réunir de l'information concernant les pressions s'exerçant sur la capacité de production, les pénuries de main-d'oeuvre et les attentes d'inflation.
Résumé: Depuis l'automne 1997, les bureaux régionaux de la Banque du Canada, situés à Halifax, Montréal, Toronto, Calgary et Vancouver, mènent chaque trimestre des consultations auprès d'entreprises d'un bout à l'autre du pays. Maintenant désignée sous le nom d'enquête sur les perspectives des entreprises, cette initiative offre à la Banque un moyen de se renseigner rapidement sur les perceptions et les plans d'avenir des gens d'affaires. Afin que l'information recueillie puisse alimenter le processus décisionnel, le moment où l'enquête a lieu est déterminé par le calendrier arrêté pour l'annonce des décisions de politique monétaire. En s'appuyant sur un questionnaire, les bureaux régionaux interrogent chaque trimestre un groupe de 100 entreprises dont la composition par région, secteur d'activité et taille reflète celle de l'économie canadienne. Cet outil de consultation étant relativement jeune, les séries chronologiques ne sont pas très longues. Se fondant sur l'analyse de graphiques et de corrélations, l'auteure pose de premiers repères pour l'interprétation des données de l'enquête. Il ressort de son évaluation que l'enquête constitue un baromètre utile de la conjoncture économique au Canada et fournit des signaux avancés de l'activité future. Elle permet aussi à la Banque de réunir de l'information concernant les pressions s'exerçant sur la capacité de production, les pénuries de main-d'oeuvre et les attentes d'inflation.